La liberté d’expression n’est pas simplement un colifichet décoratif des sociétés démocratiques libres. C’est le fondement durement acquis sur lequel ont été érigées les structures de ces sociétés. C’est la pratique de la liberté de parole, ou l’accord avec cette idée, qui distinguent l’Europe et la civilisation occidentale de toutes les autres civilisations, passées et présentes. Son absence, ou sa limitation, sont le trait majeur des cultures totalitaires.
Pourtant, la liberté d’expression n’a jamais été complètement exempte des assauts que lui livrent des intérêts particuliers.
Sauf aux États-Unis, où elle bénéficie de la protection constitutionnelle du premier amendement, l’exercice de la liberté de parole peut toujours être limité par les gardiens des intérêts publics, comme on le voit avec le cas du député hollandais Geert Wilders, inculpé et traîné en justice pour avoir offensé les musulmans en Hollande.
Le procès de Wilders représente tout à la fois un pas en arrière par rapport à l’idéal de liberté d’expression et une illustration de la manière dont des peuples libres laissent sans s’y opposer remettre en cause leur liberté en oubliant leur propre histoire. Lire la suite...
Pourtant, la liberté d’expression n’a jamais été complètement exempte des assauts que lui livrent des intérêts particuliers.
Sauf aux États-Unis, où elle bénéficie de la protection constitutionnelle du premier amendement, l’exercice de la liberté de parole peut toujours être limité par les gardiens des intérêts publics, comme on le voit avec le cas du député hollandais Geert Wilders, inculpé et traîné en justice pour avoir offensé les musulmans en Hollande.
Le procès de Wilders représente tout à la fois un pas en arrière par rapport à l’idéal de liberté d’expression et une illustration de la manière dont des peuples libres laissent sans s’y opposer remettre en cause leur liberté en oubliant leur propre histoire. Lire la suite...
Source: Toronto Sun (Traduction par Poste de veille)