La raison ? Cette fois ce sont les mères et les filles de l'Iran qui se sont rebellées contre la République islamique d'Iran et qui sont descendues dans les rues pour mener les hommes.
Pendant 30 ans, une nation entière a connu l'emprisonnement, la torture, le meurtre et, à l’insu du monde, le viol institutionnalisé de ses filles - et ce, au nom de l'islam. Aucune autre dictature, pas même les Saoudiens, n’a utilisé le viol comme instrument de domination comme l’ont fait les ayatollahs iraniens. Paradoxalement, le tout a été maquillé en acte de piété et de religiosité.
Cette vérité commence à émerger au grand jour. Un membre de la milice iranienne des Basiji aurait parlé à Sabina Amidi, une journaliste indépendante pour le Jerusalem Post, de sa participation forcée au viol de jeunes iraniennes avant leur exécution. Le Basiji a révélé que ses supérieurs justifiaient cette pratique par l’argument douteux qu’en vertu de la charia, « il est illégal d’exécuter une jeune femme, quel que soit son crime, si elle est vierge. »
Pour contourner cet obstacle, rapporte la source d’Amidi, les mollahs arrangeaient des mariages forcés entre les jeunes filles et des gardiens de prison la nuit précédant l’exécution. « La jeune fille est forcée d’avoir des rapports sexuels avec un gardien de prison – autrement dit, elle est violée par son «mari». » Lire la suite...